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  • Sida : l’autotest est maintenant disponible en pharmacie

    • Le 22/09/2015

    Ce test permet à toute personne, à partir d’une goutte de sang prélevée au bout du doigt, d’identifier la présence ou non d’anticorps produits en cas d’infection par le virus du Sida.
    AUTOTEST. Quinze minutes au lieu de trente pour savoir si l’on est porteur du virus du Sida. Voilà la promesse de la nouvelle génération d’autotests (sans supervision médicale) mise en vente dès le mardi 15 septembre 2015 en France, et initialement prévue en 2014. Le test, commercialisé par AAZ, coûtera environ 28 euros.

    20 % des séropositifs ignorent leur état

    Ce test individuel permet à toute personne, à partir d’une goutte de sang prélevée au bout du doigt, d’identifier en 15 minutes la présence ou non d’anticorps spécifiques produits en cas d’infection par le virus du Sida, le VIH. « Connaître votre statut VIH est crucial et le lancement de ce produit va permettre aux gens de se tester discrètement au moment et à l’endroit qui leur convient », s’est félicitée Brigette Bard, la fondatrice de BioSURE, entreprise à l’origine d’un autotest-Sida vendu en Grande-Bretagne et nommée BioSURE HIV Self Test. Ce test montre une efficacité de 99,7 %, comme d’autre autotests salivaires déjà commercialisés aux États-Unis.

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  • Lutte contre le VIH/Sida : Désormais il est possible de se dépister soi-même.

    • Le 18/09/2015
    Lutte contre le VIH/Sida : Désormais il est possible de se dépister soi-même.
     
    Ce 15 septembre, est disponible dans les pharmacies françaises, des autotests de dépistage du VIH/ Sida. Le processus pourrait dans l’avenir rejoindre l’Afrique.
     
    Toucher les personnes qui échappent aux dépistages en rendant facile le processus, voilà l’objectif du petit appareil qui permet à toute personne, quelque soit son âge, de se dépister soi-même.

    Le procédé est simple : il suffit de se piquer le bout du doigt après l’avoir désinfecté et laisser la petite machine procéder à l’analyse. En quelques minutes, elle réagira aux anticorps en cas d’infection. Le seul problème que pose cette procédure est la crédibilité : elle ne détecte pas les contaminations très récentes, c'est-à-dire intervenus dans les trois mois précédents le test, et ne signale pas non plus d’autres maladies ou infections outre que le Sida. Vendu entre 25 et 28 euros, ce test reste fiable à 99%.

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  • Sida : un médicament très efficace devrait être proposé largement

    • Le 11/09/2015

    (AFP) – Un antirétroviral testé comme traitement préventif chez des homosexuels exposés au risque d’infection par le VIH/sida s’est avéré particulièrement efficace et devrait faire partie des outils standard de prévention chez les hommes à risques, selon une étude publiée jeudi dans la revue britannique The Lancet.

    « La réduction impressionnante des cas de VIH chez les personnes prenant une prophylaxie pré-exposition (ou PrEP), sans augmentation notable dans les autres infections sexuellement transmissibles, est rassurante sur le plan clinique et communautaire ainsi que pour tous les acteurs de la santé publique », soulignent les auteurs de l’étude.

    Ils se déclarent « très favorables » à l’intégration de ce traitement dans les « outils courants de prévention » mis à la disposition des homosexuels exposés au risque d’infection.

    Menée au Royaume-Uni à partir de novembre 2012, l’étude PROUD a porté sur 544 homosexuels non infectés mais qui avaient eu une relation non protégée au cours des 90 jours précédents.

    La moitié d’entre eux ont immédiatement reçu une dose quotidienne de Truvada, un antirétroviral combinant du ténofovir et de l’emtricitabine, du laboratoire américain Gilead Sciences, alors que les autres ont reçu le traitement de manière différée, un an plus tard.

    Seulement trois infections ont été observées dans le premier groupe, contre 20 dans le second groupe, soit une réduction relative du risque de l’ordre de 86%, selon l’équipe de chercheurs dirigée par le Pr Sheena McCormack.

    Mais dès octobre 2014, soit près d’un an avant la publication des résultats définitifs, les responsables de l’étude avaient décidé de donner le Truvada à tous les participants en raison de résultats préliminaires très positifs.

    Au vu de cette décision, les auteurs d’une étude française du même type, intitulée Ypergay et comparant l’efficacité du Truvada à un placebo, avaient eux aussi décidé de permettre à tous les participants de bénéficier du Truvada.

    Malgré des résultats probants obtenus dans plusieurs essais cliniques, le traitement préventif contre le sida reste toutefois encore très peu prescrit dans le monde, notamment en raison de son coût élevé (de l’ordre de 10.000 euros par an) et d’effets secondaires comme des nausées des migraines et une perte de poids.

    « Les services de santé nationaux ont des contraintes financières mais ne peuvent pas ignorer les résultats de l’étude PROUD et Ypergay », soulignent les auteurs de l’étude britannique.

    Dans un commentaire joint, les Dr Kenneth Mayer et Chris Beyrer, deux spécialistes américains en santé publique, estiment pour leur part que « l’époque des spéculations n’est plus d’actualité ».

    « Il faut développer les services de prévention du sida à l’échelon international en offrant systématiquement des PrEP à ceux qui peuvent en bénéficier », ajoutent-ils.

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  • Bientôt la fin du SIDA et des infections sexuellement transmissibles?

    • Le 13/08/2015

    Actuellement en phase de test, cet anneau vaginal sera capable de protéger des grossesses non désirées et des infections sexuellement transmissibles…
    Bientôt un anneau vaginal pour bloquer les infections sexuellement transmissibles?

    Il est encore trop souvent boudé. Efficace à 99 % contre les infections sexuellement transmissibles (IST), le préservatif n’est utilisé que par 5 % des hommes sur la planète. Pourtant chaque année, 2,5 millions de personnes contractent le virus du sida dans le monde. Mais une innovation scientifique pourrait bien changer la donne d’ici trois ans à peine. Deux équipes scientifiques, soutenues notamment par la fondation Bill & Melinda Gates, travaillent sur des anneaux vaginaux révolutionnaires, capables de protéger des grossesses non désirées et des IST.
    D’une pierre deux coups
    Puisque le préservatif féminin n’a jamais vraiment trouvé son public, les chercheurs de l’université américaine de Northwestern, en partenariat avec l’ONG Conrad, travaillent depuis cinq ans sur un dispositif qui permet de faire d’une pierre deux coups : un anneau vaginal qui diffuse un contraceptif et protège des IST telles que le VIH ou encore l’herpès. « Je pense que les femmes l’utiliseront principalement pour la contraception, mais elles bénéficieront aussi d’une protection contre les IST », indique à We Demain le Dr Patrick Kiser, de l’université de Northwestern.
    Comme avec un anneau vaginal contraceptif classique, ce dispositif, d’un diamètre de 5,5 centimètres, se place au fond du vagin. Il se porte durant 90 jours et comporte deux parties. La première diffuse 10 microgrammes de levonorgestrel, un contraceptif hormonal. Et l’autre libère 10 milligrammes de tenofovir, un antirétroviral pour se protéger des IST.
    Pour l’heure, 50 volontaires testent cet anneau aux États-Unis et en République Dominicaine, mais aucune date de commercialisation n’est encore prévue.
    Un autre anneau disponible dès 2018
    Un autre projet d’anneau vaginal pourrait être disponible plus tôt, dès 2018. Testée actuellement par 5.000 femmes africaines volontaires, au Malawi, en Afrique du Sud, en Ouganda et au Zimbabwe, la Dapivirine Ring est comme un anneau contraceptif, qui se porte lui aussi au fond du vagin.
    Installé pour une durée de 30 jours, l’anneau diffuse un antirétroviral, le Dapivirine, et protège la femme qui le porte du VIH mais aussi de l’herpès durant les rapports sexuels. Si le Truvada, un traitement antirétroviral contre le VIH, est déjà disponible dans plusieurs pays, la Dapivirine Ring offre l’avantage d’être microdosée et d’éviter les oublis. En revanche, contrairement au premier projet, ce dispositif n’est pas associé à un contraceptif. Les résultats de l’étude menée en Afrique seront connus fin 2016 et la commercialisation de cet anneau pourrait démarrer en 2018.
    Après le préservatif qui change de couleur au contact d’une IST et le préservatif sans latex et au Viagra, ce nouvel anneau vaginal vient s’ajouter à la recherche pour trouver des alternatives capables de protéger des infections sexuellement transmissibles.

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  • Un espoir pour le traitement en Afrique du Sud

    • Le 31/03/2014

    Tuberculose: Un espoir pour le traitement en Afrique du Sud
    Scottish Mycobacteria Reference Laboratory, Wellcome Images
    http://www.scidev.net/afrique-sub-saharienne/tuberculose/actualites/tubercu
    lose-un-espoir-pour-le-traitement-en-afrique-du-sud.html

    Des masques faciaux intégrant un repérage par satellite et des
    échantillonneurs de toux font partie des nouvelles technologies à l'essai
    en Afrique du Sud en vue d¹aider les chercheurs à essayer de combattre
    l'épidémie de tuberculose résistante aux médicaments.

    La tuberculose est la principale cause de décès en Afrique du Sud, en
    grande partie en raison de la forte charge de la co-infection par le VIH.
    Ce pays est le seul au monde, à l'exception du Mozambique voisin, où le
    nombre des nouveaux cas d¹infection continue d'augmenter, selon le rapport
    mondial 2013 de l'OMS sur la tuberculose.

    "Nous devons interrompre la transmission et stopper l'apparition de
    nouveaux cas de tuberculose", déclare Grant Theron de l'Université du Cap,
    qui mène une étude visant à étudier la propagation de la maladie au sein
    de la population". L'épidémie de tuberculose a changé en Afrique du Sud et
    la majorité des personnes atteintes de tuberculose résistante aux
    médicaments  la contractent directement maintenant au lieu de la
    développer au fil du temps".

    Theron utilise diverses technologies pour identifier les patients les plus
    contagieux dans une communauté et suivre leurs mouvements.

    "Nous avons développé un échantillonneur d¹aérosol à partir de la toux qui
    peut identifier le nombre de bactéries de la tuberculose contenues dans la
    toux d¹un malade", dit-il. " Seuls quelques malades portent effectivement
    des bactéries vivantes, viables, dans leurs toux et ces malades
    représentent le plus grand risque dans leurs communautés".


    Dans une étude en cours, les participants toussant dans un tube
    d'aspiration qui fait passer l¹air et des gouttelettes à travers une série
    de filtres. Toutes les bactéries présentes dans les gouttelettes de toux
    sont retenues et mises en culture pour permettre leur identification.


    La recherche est basée sur la théorie de la 'supertransmission' selon
    laquelle 80 pour cent des infections dues  à des maladies infectieuses
    sont transmises par seulement 20 pour cent des personnes infectées. Les
    résultats jusqu'ici confirment  cette théorie: plus de 200 patients du Cap
    ont aujourd¹hui été échantillonnés pour l'étude et approximativement un
    sur cinq s'avère être un  supertransmetteur.


    La durée du traitement de la tuberculose a un impact énorme sur la vie et
    les moyens de subsistance des patients. La tuberculose résistante aux
    médicaments nécessite un traitement d¹au moins deux ans, comprenant des
    comprimés et des injections quotidiens.

    Trois malades participant à l¹étude sont des s¦urs venant du township de
    Philippi près du Cap. Toutes les trois, ainsi que leur s¦ur aînée, ont la
    tuberculose, deux d'entre elles l¹ayant contractée il y a tout juste un
    mois.


    "Nous avons partagé une chambre et un lit sans rien savoir sur la
    tuberculose", explique l¹une des s¦urs. "Et maintenant, nous devons
    prendre des médicaments tous les jours, nous perdons du poids et nous
    avons été obligées d'abandonner les classes ou le travail. Nos vies ont
    changé".


    Pour réduire le nombre croissant de nouvelles infections et le fardeau qui
    en résulte sur ??le système de santé de l'Afrique du Sud, Theron affirme
    que son objectif est de permettre l'identification des individus
    supertransmetteurs  et de concentrer les ressources limitées du pays sur
    eux.


    Son équipe projette également de surveiller la propagation de la
    tuberculose avec une version spéciale des masques faciaux portée pour
    empêcher les personnes infectées de transmettre la maladie. Ces 'masques
    intelligents' utilisent des capteurs et une technologie de suivi par
    satellite pour identifier le lieu où les malades passent la majeure partie
    de leur temps pendant qu¹ils sont dehors dans la communauté et où ils
    choisissent de porter leurs masques. Les participants recevront des
    masques dans le cadre d'un essai qui devrait commencer cette année.


    "Nous pouvons voir s'ils utilisent les transports en commun et les repérer
    s¹ils sont dans des centres commerciaux ou des stations de taxis", dit
    Theron. "Nous connaissons alors le potentiel de transmission à différents
    endroits".


    En plus de l'échantillonnage environnemental pour calculer le taux de
    bactéries de la tuberculose trouvées à divers endroits, tels que le
    domicile des malades, l'équipe cherche à identifier les points
    névralgiques où les gens courent le plus de risques de contracter la
    tuberculose et à concentrer les campagnes de sensibilisation sur ces
    zones, laisse-t-il entendre.


    "Si nous pouvons identifier les facteurs favorisant la transmission dans
    la communauté, nous pouvons prendre des mesures pour y empêcher cette
    transmission", dit-il. " Nous pouvons accorder la priorité aux
    installations d'isolement, à la chirurgie et à l¹administration des
    médicaments en aérosol, ce qui pourrait s'avérer plus efficace".


    "Ce qui est excellent, c¹est que nous pouvons combiner toutes nos
    informations pour savoir quels malades crachent une tuberculose vivante et
    les endroits où ils vont, identifier les risques de transmission en temps
    réel et réduire la propagation de la tuberculose dans l'avenir", dit
    Theron .

    Cet article a été soutenu par le Centre Pulitzer  pour le rapport sur la
    crise dans le cadre d'un plus grand projet de rapports sur la tuberculose
    résistante aux médicaments en Afrique du Sud.

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  • Concert de TOOFAN et de MIRLINDA pour les enfants affectés par le sida

    • Le 07/05/2013

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    TOOFAN LE 11 MAI 2013

    TOOFAN , le samedi 11MAi 2013 à 2Oh

    prévente 20 euro

    surpalce 25 euro

    Salle de l'artiste , 254 RUE BOLLINCKX , 1070 Bruxelles

    NB: les bénéfice de ce concert serviront pour les enfants touchés par le sida soutenu par CILSIDA-TOGO

    animation: Celestino le Divin

    Infoline/ 003486344191 OU 0032484732249

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  • Paludisme : le vaccin peut-être pour 2015

    • Le 20/10/2011
    Bientôt un vaccin contre le paludisme ? Les premiers résultats d’une étude de phase III publiés dans le New England Journal of Medicine, autorise cet espoir. Le candidat-vaccin en question n’est pas un inconnu puisque déjà fin 2010, ses concepteurs espéraient le voir sortir des limbes pour 2012. Or ses premiers essais montrent qu’il réduirait de moitié le risque de paludisme chez les petits africains de 5 à 17 mois. http://www.destinationsante.com/Paludisme-le-vaccin-peut-etre-pour-2015.html Baptisé RTS S, il a été évalué auprès de 6 000 nourrissons, dans 11 centres répartis en Afrique subsaharienne. Tous ont été suivis pendant un an. Au cours de ce travail randomisé, ils ont reçu trois doses de ce produit ou un « contrôle ». Dans ce dernier cas, il s’agissait non d’un placebo, mais d’un vaccin antirabique ou contre la méningite de type C. Les premiers résultats montrent que le nouveau candidat-vaccin réduisait de 56% précisément, le risque de développer un accès palustre. Quant au risque de développer une forme sévère de la malaria, il se trouverait réduit de 47%. Les auteurs précisent que « le taux élevé de couverture par utilisation de moustiquaires imprégnées d’insecticide (75%) dans cette étude, indique que RTS S peut conférer une protection additionnelle ». Les taux d’immunité obtenus paraissent en effet d’autant plus satisfaisants qu’ils traduisent une amélioration de la protection déjà conférée par le recours aux moustiquaires. La survenue d’événements indésirables graves a été comparable dans les deux groupes, traduisant l’inocuité ainsi qu’un bon niveau de sécurité du vaccin. Quant à son efficacité à long terme, elle reste bien évidemment à définir. Les premiers résultats permettant d’évaluer la protection conférée par ce produit 30 mois, c’est-à-dire après la troisième dose de vaccin, devraient être disponibles vers la fin 2014. Testé aussi chez des nourrissons de 6 à 12 semaines Par ailleurs, cette étude porte également sur plus de 9 000 nourrissons de 6 à 12 semaines. Pour l’heure, l’analyse des données fait état d’une efficacité de 35% avec un suivi de près d’un an. Les résultats définitifs en sont attendus pour la fin 2012. Ce candidat-vaccin a été développé en partenariat par le laboratoire britannique GSK et Malaria Vaccine Initiative (MVI). Le projet est financé principalement par une subvention de la Fondation Bill & Melinda Gates à MVI. A l’avenir, GSK et MVI se sont engagés « à rendre ce vaccin disponible pour ceux qui en ont le plus besoin, s’il est recommandé et approuvé par les autorités ». Sauf mauvaise surprise – malheureusement toujours envisageable - il pourrait être disponible dès 2015-2016. De leur côté, les représentants du Fonds mondial pour les vaccins - le GAVI Alliance - saluent « les résultats prometteurs de ce produit issu d’un développement public/privé (…) Un jour viendra où le vaccin contre le paludisme fera partie intégrante du programme de vaccination de tous les enfants à risque ».

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  • Vacances citoyennes et utiles sans VIH

    • Le 03/09/2011

    Encore pour la seconde fois, CILSIDA a organisé la seconde édition des vacances citoyennes et utiles sans VIH. On peut visiter ce lien aussi: http://triangledesenjeux.com/article.php?lirearticle=442 

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